Asghar Farhadi est l’auteur de récits remarquablement ancrés dans le contexte social et politique de son pays. En 2013, le cinéaste iranien avait réalisé Le passé. Cette première tentative d’exporter son cinéma nous avait moyennement convaincu. Le passé n’avait pas la force des œuvres précédentes du cinéaste. Celui-ci n’était pas parvenu, à nos yeux, à redresser la barre dans sa réalisation suivante en Iran, Le client (2016, Crime, châtiment et esquives), pourtant animée par des acteurs locaux. Avec Everybody knows, Farhadi réitère l’expérience de Le passé mais cette fois-ci en langue et terres espagnoles.
Everybody knows – En terrains connus de tous
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