Festival International du Film de La Rochelle 2018

J-1 ! Durant toute la durée du Festival International du Film de La Rochelle (FIFLR), du 29 juin au 8 juillet, nous invitons nos lecteurs à nous suivre au fil d’un large et éclectique programme cinématographique.

Nous allons donc piocher dans ce programme composé d’environ 200 films et documentaires. Nous assisterons à de multiples projections et partagerons notre ressenti quotidiennement notamment à travers notre Journal de critiques.

Au chapitre des rétrospectives, nous suivrons celles rendues aux cinéastes Ingmar Bergman et Robert Bresson. Nous ne délaisserons pas pour autant la section « Les drôles de dames du cinéma muet » qui rendra hommage à des actrices telles que Clara Bow, Marion Davies, Beatrice Lillie, Colleen Moore, Ossi Oswalda, etc.

Et, à travers l’hommage rendu au réalisateur Aki Kaurismäki, nous irons quérir un peu de fraîcheur du côté de la Finlande. Notre trajet aura aussi pour étape la Bulgarie balisée par la section « Du côté de la Bulgarie » qui met à l’honneur une nouvelle génération de cinéastes bulgares.

Enfin, les sections « Ici et ailleurs » et « D’hier à aujourd’hui » composées respectivement de films récents inédits et de films de patrimoine restaurés ou réédités viendront compléter un copieux menu auquel nous vous convions.

Consultez notre Journal Critique FIFLR 2008.

Top 2017

En ce début d’année 2018, nous cédons à nouveau à l’exercice consistant à établir notre top 10 des films vus durant un millésime cinématographique 2017 désormais clos. Nous prolongeons ce top annuel par une analyse de celui-ci, notamment en le comparant à nos tops 2015 et 2016.

Au-delà des traditionnels vœux de bonne année que nous adressons à nos lecteurs, puisse l’année 2018 être riche en propositions cinématographiques fortes, audacieuses et innovantes.

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L’autre côté de l’espoir – L’envers de l’infortune

Six ans, telle est la période qui sépare les deux derniers longs métrages réalisés par Aki Kaurismäki, Le Havre en 2011 et donc L’autre côté de l’espoir en cette année 2017. Un retour très attendu et déjà célébré à La Berlinale par l’obtention pour le cinéaste finlandais de l’Ours d’argent du meilleur réalisateur. Ce prix vient fort justement saluer la belle maîtrise technique et formelle dont fait preuve l’auteur de L’homme sans passé (2002) dans cet ultime opus digne prolongement thématique du Havre, à savoir le rapport des Européens à l’immigration clandestine.

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