Adua et ses compagnes – Merlin n’a pas vocation enchanteresse

Après Du soleil dans les yeux (1953) et Je la connaissais bien (1965), le distributeur Les Films du Camélia poursuit son travail de réhabilitation de l’œuvre cinématographique d’Antonio Pietrangeli. Ainsi, fin janvier, Adua et ses compagnes (1960) est réapparu en salle en version restaurée. Dans la filmographie de son auteur, ce cinquième long-métrage se caractérise par la mise en scène non pas d’une unique héroïne mais d’un quatuor féminin franco-italien.

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